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En touchant un vêtement porté par une femme un bhikkhu commet un thullaccaya. En touchant un bijou porté par une femme, il commet un dukkaṭa. En touchant une femme de sa famille telle que la mère ou une sœur avec un état d’esprit bienséant, il commet un dukkaṭa. Un bhikkhu ne doit pas toucher du papier, une photo, une tasse ou tout autre objet sur lequel est représenté l’image d’une femme, ni en dessin ni en sculpture, sinon il commet un dukkaṭa. Si un bhikkhu est amené à utiliser un objet sur lequel figure l’image d’une femme (par exemple un emballage de savon), il ne doit pas toucher l’image de la femme en saisissant l’objet en question. Autrement, il peut gratter cette image avec un couteau ou un autre objet jusqu’à la supprimer.
Un bhikkhu qui lance un coup d’œil, qui fait un clin d’œil ou tire la langue à une femme commet un dukkaṭa.
Si un bhikkhu touche à l’une de ces choses, il commet un dukkaṭa, ou le saṃghādisesa 2 pour ce qui est d’une femme, si c’est motivé par un désir lubrique.
Origine : Textes en birman
Traducteur : Moine Dhamma Sāmi
Date : 2000
Mise à jour : 19 juin 2005