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On peut distinguer dix sortes de femmes et dix sortes de compagnes…
Un bhikkhu ne doit en aucun cas organiser une rencontre pour qu’une femme de l’une des dix sortes de femmes citées au-dessus devienne une compagne parmi les dix sortes de compagnes citées au-dessus.
Exemple : Un homme s’adresse à un bhikkhu en ces termes : « Vénérable, veuillez faire en sorte que je puisse obtenir avec mon argent la femme Untel qui est encore sous la garde de sa mère. » Le bhikkhu accepte sa demande. Il va se renseigner sur la volonté de cette femme. Ensuite il vient rapporter les nouvelles à l’homme. Le bhikkhu a commis le saṃghādisesa 5. De la même manière, si un bhikkhu accepte d’une femme d’aller sonder un homme, qu’il se renseigne auprès de lui, et qui vient rapporter les informations obtenues à la femme commet le saṃghādisesa 5.
Accepter d’aller chercher des renseignements, prendre des renseignements et rapporter les renseignements ; lorsque ces trois facteurs sont réunis, le saṃghādisesa 5 est commis. Accepter d’aller chercher des renseignements et prendre des renseignements ; si seuls ces deux facteurs sont accomplis, le bhikkhu commet un thullaccaya. Si seulement un des trois facteurs est effectué, le bhikkhu commet un dukkaṭa.
Origine : Textes en birman
Traducteur : Moine Dhamma Sāmi
Date : 2000
Mise à jour : 19 juin 2005