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Les dukkaṭa relatifs aux pācittiya (31 à 60)

dukkaṭa (pa 31) — Si un bhikkhu non malade – au point de ne pouvoir quitter les lieux par ses propres moyens – accepte l’un des cinq types de nourriture(113) en plus d’une fois, dans un lieu – auberge, abri, sous un arbre, sur la terre nue – fréquenté par des invités de passage (voyageurs, ermites, etc.), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 31) — Si un bhikkhu non malade – au point de ne pouvoir quitter les lieux par ses propres moyens – consomme l’un des cinq types de nourriture(113) – qu’il a accepté – en plus d’une fois, dans un lieu – auberge, abri, sous un arbre, sur la terre nue – fréquenté par des invités de passage (voyageurs, ermites, etc.), il commet un pācittiya.(2), (116)

dukkaṭa (pa 31) — Si un bhikkhu qui est malade – au point de ne pouvoir quitter les lieux par ses propres moyens – mais croit que non ou en doute, consomme l’un des cinq types de nourriture(113) – qu’il a accepté – en plus d’une fois, dans un lieu – auberge, abri, sous un arbre, sur la terre nue – fréquenté par des invités de passage (voyageurs, ermites, etc.), il commet un pācittiya.(2), (116)

dukkaṭa (pa 32) — Si, sans être malade – ne serait-ce que d’avoir le pied ouvert ou d’avoir de la fièvre –, sans bénéficier d’une offrande de robe, sans être en train de coudre (sa) robe, sans effectuer un long voyage, sans emprunter une embarcation, sans qu’il s’agisse d’une offrande de la part de l’adepte d’une secte (aux vues erronées), un bhikkhu accepte de la nourriture offerte de manière incorrecte (impolie, irrespectueuse, etc.), acceptée à quatre (bhikkhu) ou plus, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 32) — Si, sans être malade – ne serait-ce que d’avoir le pied ouvert ou d’avoir de la fièvre –, sans bénéficier d’une offrande de robe, sans être en train de coudre (sa) robe, sans effectuer un long voyage, sans emprunter une embarcation, sans qu’il s’agisse d’une offrande de la part de l’adepte d’une secte (aux vues erronées), un bhikkhu consomme de la nourriture offerte de manière incorrecte (impolie, irrespectueuse, etc.), acceptée à moins de quatre (bhikkhu) mais croit plus ou doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 33) — Si, après avoir été invité pour (manger) de la nourriture (et avoir accepté cette invitation), sans être malade – de sorte à ne pas pouvoir manger la nourriture à l’endroit de l’invitation –, sans raison valable(118), un bhikkhu accepte une autre nourriture (à un autre endroit), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 33) — Si, sans avoir accepté une invitation pour manger à un endroit, mais croyant que si, sans être malade – de sorte à ne pas pouvoir manger la nourriture à l’endroit de l’invitation –, sans raison valable(118), un bhikkhu consomme de la nourriture à un autre endroit, à chaque ingestion, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 33) — Si, sans avoir accepté une invitation pour manger à un endroit, mais doutant de cela, sans être malade – de sorte à ne pas pouvoir manger la nourriture à l’endroit de l’invitation –, sans raison valable(118), un bhikkhu consomme de la nourriture à un autre endroit, à chaque ingestion, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 34) — Si, s’étant approché d’une maison – d’un particulier –, un bhikkhu gourmand accepte des gâteaux pour tout au plus l’équivalent de trois bols, mais croit plus que cela ou doute, et qu’ils constituent la ration alimentaire du donateur ou un présent qu’il avait prévu pour quelqu’un d’autre, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 34) — Si, un bhikkhu qui vient d’accepter des gâteaux auprès d’un dāyakā qui en a donné en tout (dans la journée, à des bhikkhu) pour l’équivalent d’un bol, en repartant, ne prévient pas chaque bhikkhu susceptible de passer vers la même maison, en lui disant : « Vénérable, sachez que des gâteaux pour l’équivalent d’un bol ont déjà été acceptés dans cette maison », il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 34) — Si, un bhikkhu qui vient d’accepter des gâteaux auprès d’un dāyakā qui en a donné en tout (dans la journée, à des bhikkhu) pour l’équivalent de deux bols, en repartant, ne prévient pas chaque bhikkhu susceptible de passer vers la même maison, en lui disant : « Vénérable, sachez que des gâteaux pour l’équivalent de deux bols ont déjà été acceptés dans cette maison », il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 34) — Si, un bhikkhu qui vient d’accepter des gâteaux auprès d’un dāyakā qui en a donné en tout (dans la journée, à des bhikkhu) pour l’équivalent de trois bols, en repartant, ne prévient pas chaque bhikkhu susceptible de passer vers la même maison, en lui disant : « Vénérable, sachez que des gâteaux pour l’équivalent de trois bols ont déjà été acceptés dans cette maison. N’en acceptez plus ! », il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 35) — Un bhikkhu en pavārito ne doit plus accepter de nourriture – crue ou cuite – après s’être levé (déplacé), sinon, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 35) — Un bhikkhu en pavārito ne doit plus accepter d’aliments autorisés après midi(122) dans le but de se nourrir après s’être levé (déplacé), sinon, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 35) — Un bhikkhu en pavārito ne doit plus accepter d’aliments autorisés après midi dans le but de se nourrir après s’être levé (déplacé), sinon, en la mangeant, à chaque ingestion, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 35) — Si un bhikkhu en pavārito accepte et mange de la nourriture atirita, croyant qu’elle ne l’est pas ou en doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 36) — Si, dans le but de nuire à la réputation d’un (2e) bhikkhu, un (1er) bhikkhu tente de l’inciter à consommer de la nourriture qu’il (le 2e) a acceptée après être en pavārito et sans avoir fait atirita, et qu’il (le 1er) le sait, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 36) — Si, dans le but de nuire à la réputation d’un (2e) bhikkhu, un (1er) bhikkhu l’incite – et y parvient – à accepter de la nourriture après être en pavārito et sans avoir fait atirita, et qu’il (le 1er) le sait, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 36) — Si, dans le but de nuire à la réputation d’un (2e) bhikkhu, un (1er) bhikkhu l’incite – et y parvient – à consommer de la nourriture qu’il (le 2e) a accepté, après être en pavārito et sans avoir fait atirita, et qu’il (le 1er) le sait, pendant qu’il (le 2e) mange, à chaque ingestion, l’autre bhikkhu (le 1er) commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 36) — Si, dans le but de nuire à la réputation d’un (2e) bhikkhu, un (1er) bhikkhu l’incite – et y parvient – à consommer de la nourriture qu’il (le 2e) a acceptée après être en pavārito et sans avoir fait atirita, mais qu’il (le 1er) en doute, lorsqu’il (le 2e) a fini de manger, il (le 1er) commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 36) — Si, dans le but de nuire à la réputation d’un (2e) bhikkhu, un (1er) bhikkhu l’incite – et y parvient – à consommer de la nourriture qu’il (le 2e) a accepté sans être en pavārito, mais qu’il (le 1er) croit que si ou en doute, lorsqu’il (le 2e) a fini de manger, il (le 1er) commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 36) — Si, dans le but de nuire à la réputation d’un (2e) bhikkhu, un (1er) bhikkhu l’incite – et y parvient – à consommer des aliments autorisés après midi, dans le but de se nourrir, qu’il (le 2e) a acceptés après être en pavārito et sans avoir fait atirita, et qu’il (le 1er) le sait, lorsqu’il (le 2e) a fini de manger, il (le 1er) commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 37) — Si un bhikkhu accepte de la nourriture(124) – crue ou cuite – dans le but de la consommer entre midi(125) et l’aube(31), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 37) — Si un bhikkhu accepte des aliments autorisés après midi(125) dans le but de les consommer pour se nourrir entre midi(125) et l’aube(31), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 37) — Si, entre midi(125) et l’aube(31), dans le but de se nourrir, un bhikkhu met dans sa bouche et mange des aliments autorisés après midi, à chaque ingestion, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 37) — Si un bhikkhu met dans sa bouche et mange de la nourriture(124) – crue ou cuite – entre l’aube(31) et midi(125) mais croit entre midi(125) et l’aube(31) ou doute, à chaque ingestion, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 37) — Si un bhikkhu accepte de l’huile après midi(125), la cuit après midi(125), la filtre et la consomme après midi(125), il commet 3 dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 37) — Si un bhikkhu accepte de l’huile le matin (avant midi(125)), la cuit après midi(125), la filtre et la consomme après midi(125), il commet 2 dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 37) — Si un bhikkhu accepte de l’huile le matin (avant midi(125)), la cuit le matin (avant midi(125)), la filtre et la consomme après midi(125), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 37) — Si un bhikkhu consomme des pépins après midi(125) pour se nourrir, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 37) — Si un bhikkhu consomme du sel après midi(125) pour se nourrir, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 37 et 38) — Pour une raison médicale – pour guérir un mal –, un bhikkhu est autorisé à conserver à vie et à consommer à tout moment des racines. Si un bhikkhu consomme des racines (après midi(125) ou les ayant conservées depuis avant l’aube) pour se nourrir, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 38) — Si un bhikkhu accepte de la nourriture(124) dans le but de la conserver pour la consommer un autre jour, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 38) — Si un bhikkhu accepte des aliments autorisés après midi122 dans le but de les conserver afin de les consommer un autre jour pour se nourrir, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 38) — Si, dans le but de se nourrir, un bhikkhu mange des aliments autorisés après midi qu’il a accepté un jour précédent et conservé depuis, à chaque ingestion, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 38) — Si un bhikkhu mange de la nourriture(124) acceptée le jour même, mais qu’il croit avoir été acceptée un jour précédent et conservée depuis, ou en doute, à chaque ingestion, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 39) — Si, de quelle manière que ce soit, sans être malade, un bhikkhu demande pour lui-même de la nourriture supérieure(126), à chaque demande, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 39) — Si, de quelle manière que ce soit, sans être malade, un bhikkhu demande pour lui-même, dans le but de la consommer, de la nourriture supérieure(126), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 39) — Si, de quelle manière que ce soit, un bhikkhu malade, mais croyant ne pas l’être ou doute, demande pour lui-même et consomme de la nourriture supérieure(126), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 40) — Si un bhikkhu accepte de la nourriture non correctement offerte(129) , il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 40) — Si un bhikkhu accepte de la nourriture correctement offerte, mais qu’il croit incorrectement offerte(129) ou doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 41) — Si un bhikkhu donne – à l’aide du corps, de quelque chose en contact avec le corps, ou en abandonnant – de l’eau ou un bâtonnet effiloché (brosse à dents) à une personne qui entretient des vues fausses ou à un ascète nu, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 41) — Si un bhikkhu donne – à l’aide du corps, de quelque chose en contact avec le corps, ou en abandonnant – de la nourriture à une personne qui entretient des vues justes, mais dont le bhikkhu croit fausses ou doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 42) — Si, après qu’un bhikkhu ait proposé à un autre de l’accompagner au village(108) pour y recevoir de la nourriture (à l’aide du bol, en stationnant devant les maisons), le rejette dans le but de se retrouver (sans lui) avec une (ou des) femme(s) pour plaisanter, pour passer un moment agréable, pour s’isoler ou pour faire d’autres choses inconvenables, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 42) — Si, après qu’un bhikkhu ait proposé à un autre de l’accompagner au village(108) pour y recevoir de la nourriture (à l’aide du bol, en stationnant devant les maisons), le rejette parce qu’il ne veut pas (plus) de sa présence, et pour aucune autre raison — en lui disant (quelque chose tel que) : « Allez-vous-en ! Lorsque vous parlez avec moi, lorsque vous vivez avec moi, je suis malheureux. Lorsque je demeure tout seul, je suis heureux », dès que le bhikkhu rejeté est en train de franchir la distance depuis laquelle il n’est plus possible de voir ou d’entendre, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 42) — Si, sous l’effet de la colère, après qu’un bhikkhu ait proposé à un autre de l’accompagner au village(108) pour y recevoir de la nourriture (à l’aide du bol, en stationnant devant les maisons), le réprimande en le rejetant, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 42) — Si, après qu’un bhikkhu ait proposé à une personne autre qu’un bhikkhu de l’accompagner au village(108) pour y recevoir de la nourriture (à l’aide du bol, en stationnant devant les maisons), le rejette parce qu’il ne veut pas (plus) de sa présence, et pour aucune autre raison — en lui disant (quelque chose tel que) : « Allez-vous-en ! Lorsque vous parlez avec moi, lorsque vous vivez avec moi, je suis malheureux. Lorsque je demeure tout seul, je suis heureux », dès que la personne rejetée a franchi la distance depuis laquelle il n’est plus possible de voir ou d’entendre, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 42) — Si, sous l’effet de la colère, après qu’un bhikkhu ait proposé à une personne autre qu’un bhikkhu de l’accompagner au village(108) pour y recevoir de la nourriture (à l’aide du bol, en stationnant devant les maisons), le réprimande en le rejetant, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 43) — Si un bhikkhu entre dans une maison dans laquelle se trouve un couple seul – un homme et une femme – qui ne se trouve pas dans la chambre à coucher, mais qu’il croit que si ou qu’il doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 44) — Si un bhikkhu s’assoit ou s’allonge avec une ogresse, un peta femelle, un paṇḍuka ou un animal femelle seule assise ou allongée, dans un lieu complètement caché (par quoi que ce soit), abrité de tout regard et de toute écoute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 44) — Si un bhikkhu s’assoit ou s’allonge avec quelqu’un d’autre qu’une femme(10), seul assis ou allongé, mais qu’il croit être une femme ou doute, dans un lieu complètement caché (par quoi que ce soit), abrité de tout regard et de tout écoute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 45) — Si un bhikkhu s’assoit ou s’allonge tout près d’une ogresse, un peta femelle, un paṇḍuka ou un animal femelle seule assise ou allongée, dans un lieu partiellement abrité de tout regard ou abrité de tout écoute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 45) — Si un bhikkhu s’assoit ou s’allonge tout près de quelqu’un d’autre qu’une femme(10), seul assis ou allongé, mais qu’il croit être une femme ou doute, dans un lieu partiellement abrité de tout regard ou abrité de tout écoute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 46) — Si, sans raison valable(118), un bhikkhu qui n’est pas invité à manger un des cinq types de nourriture(113) chez un dāyakā, mais croit que si ou doute, sans demander l’accord à un autre bhikkhu (qui accompagne), alors qu’il sait qu’il y aura de la nourriture (à cet endroit), se rend (et parvient) à la maison d’un autre dāyakā avant de commencer ou après avoir commencé le repas, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 47) — Si, à un dāyakā qui l’a invité pour (lui demander) des médicaments pour une durée de quatre mois(25) – sans renouveler son invitation, ni en la formulant pour une durée illimitée –, un bhikkhu – qui n’est pas malade – lui en demande avant l’expiration de cette durée, mais la croyant dépassée ou doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 48) — Si un bhikkhu se déplace pour aller contempler (regarder avec curiosité) les quatre corps d’une troupe armée(135) en marche, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 48) — Si un bhikkhu se déplace pour aller contempler (regarder avec curiosité) l’un des quatre corps d’une troupe armée(135) en marche, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 48) — Si un bhikkhu se déplace pour aller contempler (regarder avec curiosité) l’un des quatre corps d’une troupe armée(135) en marche et la contemple, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 48) — Si un bhikkhu qui s’est déplacé pour aller contempler (regarder avec curiosité) un ou plusieurs des corps d’une troupe armée(135) en marche, en repartant, se retourne (dans le but de regarder), il commet (pour le fait de se retourner) un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 48) — Si un bhikkhu se déplace pour aller contempler (regarder avec curiosité) les quatre corps d’une troupe armée(135) qui n’est pas en marche mais croit que si ou doute, et la contemple, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 49) — Si, en se rendant dans le campement d’une troupe armée, un bhikkhu n’y demeure pas plus de trois nuits de suite, mais croit que si ou doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 50) — Si un bhikkhu, demeurant dans le campement d’une troupe armée, se déplace pour se rendre sur les lieux d’un combat, à une revue (inspection) de soldats, à la préparation d’un combat ou à un défilé militaire, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 50) — Si un bhikkhu, demeurant dans le campement d’une troupe armée, se déplace pour se rendre sur les lieux d’un combat, à une revue (inspection) de soldats, à la préparation d’un combat ou à un défilé militaire, où n’est présent qu’un seul corps d’une troupe armée, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 50) — Si un bhikkhu, demeurant dans le campement d’une troupe armée, se rend sur les lieux d’un combat, à une revue (inspection) de soldats, à la préparation d’un combat ou à un défilé militaire, où n’est présent qu’un seul corps d’une troupe armée, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 50) — Si un bhikkhu, demeurant dans le campement d’une troupe armée, s’étant rendu sur les lieux d’un combat, à une revue (inspection) de soldats, à la préparation d’un combat ou à un défilé militaire, étant reparti, se retourne (dans le but de regarder), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 51) — Si un bhikkhu boit une boisson non alcoolisée (ne serait-ce quelques gouttes) qu’il croit alcoolisée ou qu’il doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 52) — Si, sans autre raison que pour rire ou s’amuser, un bhikkhu chatouille un bhikkhu – à l’aide de son corps, en effleurant un objet en contact avec le corps d’un bhikkhu –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 52) — Si, sans autre raison que pour rire ou s’amuser, un bhikkhu chatouille un bhikkhu – à l’aide d’un objet en contact avec son corps, en effleurant le corps d’un bhikkhu –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 52) — Si, sans autre raison que pour rire ou s’amuser, un bhikkhu chatouille un bhikkhu – l’aide d’un objet en contact avec son corps, en effleurant un objet en contact avec le corps d’un bhikkhu –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 52) — Si, sans autre raison que pour rire ou s’amuser, un bhikkhu chatouille un bhikkhu – en libérant (lançant, lâchant, faisant glisser, etc.) un objet, qui touche le corps d’un bhikkhu –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 52) — Si, sans autre raison que pour rire ou s’amuser, un bhikkhu chatouille un bhikkhu – en libérant (lançant, lâchant, faisant glisser, etc.) un objet qui touche un objet en contact avec le corps d’un bhikkhu –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 52) — Si, sans autre raison que pour rire ou s’amuser, un bhikkhu chatouille un bhikkhu – en touchant un objet en contact avec un objet libéré (lancé, lâché, glissant, etc.) qui touche le corps d’un bhikkhu –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 52) — Si, sans autre raison que pour rire ou s’amuser, un bhikkhu chatouille une personne autre qu’un bhikkhu – à l’aide de son corps ou d’un objet, en effleurant le corps ou un objet en contact avec le corps de cette personne –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 52) — Si, sans autre raison que pour rire ou s’amuser, un bhikkhu chatouille une personne autre qu’un bhikkhu, mais qu’il croit être un bhikkhu ou qu’il doute, – à l’aide de son corps, en effleurant le corps de cette personne –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 53) — Si, dans une intention d’agrément ou d’amusement, un bhikkhu entre dans l’eau, profonde de sorte qu’elle ne dépasse pas le bas de la cheville, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 53) — Si, dans une intention d’agrément ou d’amusement, un bhikkhu s’amuse dans une embarcation, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 53) — Si, dans une intention d’agrément ou d’amusement, un bhikkhu plonge dans l’eau une main, un pied, un (morceau de) bois, un morceau de pot en terre (etc.), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 53) — Si, dans une intention d’agrément ou d’amusement, un bhikkhu s’amuse dans un pot contenant de l’eau, de l’eau de riz, du lait, du babeurre, de la teinture liquide, dans de l’urine ou de la boue liquide, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 53) — Si, sans intention d’agrément ou d’amusement, mais croit que si ou en doute, un bhikkhu entre dans l’eau – plonge, flotte, nage – de ne serait-ce que jusqu’au bas de la cheville, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 54) — Si un bhikkhu fait preuve d’irrespect envers les remarques d’un bhikkhu qui ne s’appuient pas sur un point du dhamma, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 54) — Si un bhikkhu fait preuve d’irrespect envers une personne autre qu’un bhikkhu, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 55) — Si, dans le but de provoquer une peur, un bhikkhu tente d’effrayer une personne autre qu’un bhikkhu – à l’aide d’une vision, d’un son, d’une odeur, d’un goût ou d’un contact tactile –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 56) — Si, dans le but de produire de la chaleur, un bhikkhu non malade – au point d’être incommodé s’il n’y a pas de feu – soulève une braise, hormis pour une raison valable (lampe à huile, éclairage, etc.), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 56) — Si, dans le but de produire de la chaleur, un bhikkhu malade – au point d’être incommodé s’il n’y a pas de feu – mais se croyant non malade ou en doute, allume ou fait allumer un feu, hormis pour une raison valable (lampe à huile, éclairage, etc.), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 57) — Si un bhikkhu ne se lave pas plus d’une fois dans une période de quinze jours, mais croit que si ou doute, alors qu’il n’y a pas de raison valable pour se doucher plus que cela(142), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 58) — Si un bhikkhu obtient une nouvelle robe et qu’il la porte déjà marquée – pour ternir son apparence – de couleur marron, boue ou noire – ne serait-ce à l’aide d’un brin d’herbe –, mais croit que non ou doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 59) — Si un bhikkhu utilise une robe qu’il a remise à l’aide de la vikappanā à un bhikkhu, une bhikkhunī, une sikkhamāna, un sāmaṇera ou une sāmaṇerī, en ayant d’abord fait le paccuddhāra, mais croyant que non ou doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 59) — Si un bhikkhu détermine une robe qu’il a remise à l’aide de la vikappanā à un bhikkhu, une bhikkhunī, une sikkhamāna, un sāmaṇera ou une sāmaṇerī, sans qu’ait ensuite été fait le paccuddhāra, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 59) — Si un bhikkhu abandonne à quelqu’un d’autre une robe qu’il a remis à l’aide de la vikappanā à un bhikkhu, une bhikkhunī, une sikkhamāna, un sāmaṇera ou une sāmaṇerī, sans qu’ait d’abord été fait le paccuddhāra, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 60) — Si un bhikkhu cache ou fait cacher d’autres affaires que le bol, la robe, le nissīdana, l’aiguille ou la ceinture d’un bhikkhu, ne serait-ce pour faire une plaisanterie, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 60) — Si un bhikkhu cache ou fait cacher les affaires d’une personne autre qu’un bhikkhu, ne serait-ce pour faire une plaisanterie, il commet un dukkaṭa.

Voir la suite des dukkaṭa

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Origine : Textes en birman

Auteur/traducteur : Moine Dhamma Sāmi

Date : 2003

Mise à jour : 19 juin 2005