Cliquez ici pour afficher normalement la page (avec mise en forme et graphisme). Si ça ne fonctionne pas, vérifiez que votre navigateur accepte JavaScript et supporte les CSS. Nous vous recommandons un navigateur respectant les standards, tel que : Google Chrome, Firefox, Safari…

Vous êtes ici : accueil > sangha > vinaya > hors pātimokkha > dukkaṭa (7/12)
Les dukkaṭa relatifs aux pācittiya (61 à 92)

dukkaṭa (pa 61) — Si un bhikkhu tue – agit pour tuer et parvient à tuer – un animal – mais doute (s’il s’agit d’un animal ou pas) – dans l’intention de le tuer, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 61) — Si un bhikkhu agit en croyant tuer un animal, ou doute, mais qu’il ne s’agit pas d’un animal il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 62) — Si un bhikkhu utilise de l’eau contenant un ou plusieurs insectes, mais doute – pensant aussi que s’il y a des insectes dans cette eau qu’il utilise, ils risquent de mourir –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 62) — Si un bhikkhu utilise de l’eau ne contenant pas d’insectes, mais qu’il croit que si ou doute – pensant aussi que s’il y a des insectes dans cette eau qu’il utilise, ils risquent de mourir –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 63) — Si un bhikkhu incite (le saṃgha) à procéder à nouveau à une affaire déjà réglée légalement (par le saṃgha), mais qu’il en doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 63) — Si un bhikkhu incite (le saṃgha) à procéder à nouveau à une affaire déjà réglée illégalement (par le saṃgha), mais qu’il la croit réglée légalement ou qu’il en doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 64) — Si un bhikkhu dissimule d’une manière ou d’une autre la grosse faute(85) – qu’il connaît, mais croit ne pas être une grosse faute(85) ou doute – d’un bhikkhu, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 64) — Si un bhikkhu dissimule d’une manière ou d’une autre la faute qui n’est pas une grosse faute(85) – qu’il connaît – d’un bhikkhu, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 64) — Si un bhikkhu dissimule d’une manière ou d’une autre la faute – qui est une grosse faute(85) ou pas – qu’il connaît – d’une personne autre qu’un bhikkhu, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 65) — Si, dans le but d’intégrer dans le saṃgha une personne âgée de moins de vingt ans – et qu’il le sait –, un bhikkhu cherche ou réunit les autres bhikkhu nécessaires à une telle procédure – des bhikkhu qui liront la kammavācā ou des bhikkhu qui ne la liront pas –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 65) — Si, dans le but d’intégrer dans le saṃgha une personne âgée de moins de vingt ans – et qu’il le sait –, un bhikkhu cherche (ou fait chercher) le bol ou les robes de la personne qu’il prévoit intégrer dans le saṃgha, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 65) — Si, dans le but d’intégrer dans le saṃgha une personne âgée de moins de vingt ans – et qu’il le sait –, un bhikkhu prépare la sīmā à l’aide de la sammuti, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 65) — Si un bhikkhu intègre dans le saṃgha (donne le statut de bhikkhu à l’aide de la procédure adéquate) une personne âgée de moins de vingt ans et qu’il le sait, au terme de la ñatti, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 65) — Si un bhikkhu intègre dans le saṃgha (donne le statut de bhikkhu à l’aide de la procédure adéquate) une personne âgée de moins de vingt ans et qu’il le sait, au terme du deuxième énoncé de la kammavācā, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 65) — Si un bhikkhu accepte de faire partie des bhikkhu qui, autour du précepteur, intègrent une personne dans le saṃgha, pour intégrer une personne âgée de moins de vingt ans, au terme de la procédure, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 65) — Si un bhikkhu intègre dans le saṃgha (donne le statut de bhikkhu à l’aide de la procédure adéquate) une personne âgée de moins de vingt ans, mais qu’il doute, au terme de la procédure, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 65) — Si un bhikkhu intègre dans le saṃgha (donne le statut de bhikkhu à l’aide de la procédure adéquate) une personne âgée d’au moins vingt ans, mais qu’il croit être âgé de moins de vingt ans ou doute, au terme de la procédure, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 66) — Si un bhikkhu planifie un voyage de long trajet avec des commerçants(109) voleurs, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 66) — Si après l’avoir planifié, un bhikkhu effectue un voyage de long trajet avec des commerçants(109) voleurs, mais doute (qu’il s’agisse de voleurs), à chaque trajet qui sépare deux villages(108) distancés d’une distance correspondant à celle que peut parcourir une poule en volant, ou s’il n’y a pas de village, à chaque demi yūjanā, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 66) — Si après l’avoir planifié tout seul, un bhikkhu effectue un voyage de long trajet avec des commerçants(109) voleurs, à chaque trajet qui sépare deux villages(108) distancés d’une distance correspondant à celle que peut parcourir une poule en volant, ou s’il n’y a pas de village, à chaque demi yūjanā, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 66) — Si après l’avoir planifié, un bhikkhu effectue un voyage de long trajet avec des commerçants(109) qui ne sont pas des voleurs, mais qu’il croit en être ou en doute, à chaque trajet qui sépare deux villages(108) distancés d’une distance correspondant à celle que peut parcourir une poule en volant, ou s’il n’y a pas de village, à chaque demi yūjanā, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 67) — Si un bhikkhu planifie un voyage de long trajet avec une femme(10) – qu’il sait ou qu’il ne sait pas qu’il s’agit d’une femme –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 67) — Si après l’avoir planifié tout seul, un bhikkhu effectue un voyage de long trajet avec une femme(10) – qu’il sait ou qu’il ne sait pas qu’il s’agit d’une femme –, à chaque trajet qui sépare deux villages(108) distancés d’une distance correspondant à celle que peut parcourir une poule en volant, ou s’il n’y a pas de village, à chaque demi yūjanā, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 67) — Si après l’avoir planifié, un bhikkhu effectue un voyage de long trajet avec une ogresse, un peta femelle, un paṇḍuka ou un animal femelle prenant forme humaine, à chaque trajet qui sépare deux villages(108) distancés d’une distance correspondant à celle que peut parcourir une poule en volant, ou s’il n’y a pas de village, à chaque demi yūjanā, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 67) — Si après l’avoir planifié, un bhikkhu effectue un voyage de long trajet avec une personne qui n’est pas une femme(10), mais qu’il croit que si ou doute, à chaque trajet qui sépare deux villages(108) distancés d’une distance correspondant à celle que peut parcourir une poule en volant, ou s’il n’y a pas de village, à chaque demi yūjanā, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 68) — Si un bhikkhu faisant l’objet du pācittiya 68 (voir le pācittiya 68) n’abandonne toujours pas sa position alors que le saṃgha effectue illégalement la procédure, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 68) — Si un bhikkhu affirme que les empêchements (aux jhāna, à saddhā) enseignés par Bouddha ne sont pas des empêchements (aux jhāna, à saddhā), les bhikkhu qui l’entendent ou le voient doivent lui dire : « Ne parlez pas ainsi ! Ne désapprouvez pas ainsi Bouddha ! Il n’est pas bien de désapprouver Bouddha. Bouddha a enseigné les diverses raisons pour lesquelles il y a des empêchements et quels sont ces empêchements. Ceux qui adoptent ces enseignements sont inévitablement soumis à ces empêchements. » Il convient de prononcer ce discours une seconde et une troisième fois. Si ce bhikkhu n’abandonne pas sa position, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 68) — Si un bhikkhu faisant l’objet du pācittiya 68 (voir le pācittiya 68) n’abandonne toujours pas sa position après que le saṃgha lui ait énoncé trois fois le discours adéquat, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 68) — Si un bhikkhu faisant l’objet du pācittiya 68 (voir le pācittiya 68) n’abandonne toujours pas sa position après que le saṃgha lui ait énoncé la ñatti adéquate, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 68) — Si un bhikkhu faisant l’objet du pācittiya 68 (voir le pācittiya 68) n’abandonne toujours pas sa position après que le saṃgha lui ait énoncé deux fois la kammavācā adéquate, il commet deux dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 68) — Si un bhikkhu qui entend ou qui voit un bhikkhu qui affirme que les empêchements (aux jhāna, à saddhā) enseignés par Bouddha ne sont pas des empêchements (aux jhāna, à saddhā) ne lui dit pas : « Ne parlez pas ainsi ! Ne désapprouvez pas ainsi Bouddha ! Il n’est pas bien de désapprouver Bouddha. Bouddha a enseigné les diverses raisons pour lesquelles il y a des empêchements et quels sont ces empêchements. Ceux qui adoptent ces enseignements sont inévitablement soumis à ces empêchements. », il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 69) — Si un bhikkhu utilise des affaires – donne de la nourriture, prend de la nourriture –, étudie le dhamma(151) – apprend, enseigne –, fait l’uposatha, fait le pavāraṇā, effectue (d’autres) procédures du saṃgha, ou dort sous le même toit(152) qu’un bhikkhu qui ne rejette pas sa vue erronée – en affirmant que les empêchements enseignés par Bouddha ne sont pas des empêchements – mais qu’il en doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 69) — Si un bhikkhu utilise des affaires – donne de la nourriture, prend de la nourriture –, étudie le dhamma(151) – apprend, enseigne –, fait l’uposatha, fait le pavāraṇā, effectue (d’autres) procédures du saṃgha, ou dort sous le même toit(152) qu’un bhikkhu qui n’est pas un bhikkhu qui ne rejette pas sa vue erronée – en affirmant que les empêchements enseignés par Bouddha ne sont pas des empêchements – mais qu’il croit que si ou en doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 70) — Si un bhikkhu soutient un sāmaṇera déchu du saṃgha (voir le pācittiya 70) en lui donnant un bol, en lui donnant une robe, en lui enseignant le dhamma, en lui donnant de quoi se laver – savon, terre, bâtonnet effiloché (brosse à dents), de l’eau – et qu’il l’utilise, en étudiant le dhamma avec lui, ou en dormant sous le même toit que lui, en doutant qu’il s’agisse d’un sāmaṇera déchu du saṃgha, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 70) — Si un bhikkhu soutient un sāmaṇera qui n’est pas déchu du saṃgha (voir le pācittiya 70) en lui donnant un bol, en lui donnant une robe, en lui enseignant le dhamma, en lui donnant de quoi se laver – savon, terre, bâtonnet effiloché (brosse à dents), de l’eau – et qu’il l’utilise, en étudiant le dhamma avec lui, ou en dormant sous le même toit que lui, en croyant qu’il s’agit d’un sāmaṇera déchu du saṃgha ou qu’il en doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 71) — Si un bhikkhu, que l’on (un autre bhikkhu) exhorte à appliquer un point non établi par Bouddha, rétorque qu’il ne l’appliquera que lorsqu’il se sera renseigné auprès de bhikkhu spécialistes compétents ou d’autres bhikkhu sages, expérimentés, compétents, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 71) — Si un bhikkhu, qu’une autre personne qu’un bhikkhu exhorte à appliquer un point établi ou non par Bouddha, rétorque qu’il ne l’appliquera que lorsqu’il se sera renseigné auprès de bhikkhu spécialistes compétents ou d’autres bhikkhu sages, expérimentés, compétents, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 72) — Si un bhikkhu – devant un autre bhikkhu – critique défavorablement un point du dhamma hormis le vinaya, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 72) — Si un bhikkhu – devant une personne autre qu’un bhikkhu – critique défavorablement un point du dhamma (vinaya ou pas), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 73) — Si, un bhikkhu qui entend la présentation du pātimokkha (uposatha) au moins pour la quatrième fois, prétend, dans le but de prétexter qu’il a commis une faute en raison du fait qu’il ne la connaissait pas : « Ce n’est que maintenant que je prends connaissance de ce point. J’ignorais que cela était inclus dans le pātimokkha. À chaque demi mois25, le pātimokkha est présenté en abrégé », il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 73) — Si un bhikkhu faisant l’objet du pācittiya 73 (voir le pācittiya 73) continue de feindre qu’il ne connaissait pas une règle, alors que le saṃgha a effectué illégalement la procédure, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 74) — Si, par colère ou par insatisfaction, un bhikkhu frappe une personne autre qu’un bhikkhu, à l’aide de son corps, d’un objet en contact avec son corps ou d’un objet lancé – ne serait-ce une feuille de lotus –, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 75) — Si, par colère ou par insatisfaction, un bhikkhu menace une personne autre qu’un bhikkhu avec la paume – ou à l’aide d’une autre partie de son corps ou d’un objet, ne serait-ce une feuille de lotus – (comme pour le frapper), il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 76) — Si un bhikkhu accuse sans fondement – n’ayant rien vu, rien entendu – de saṃghādisesa un bhikkhu qui se conduit mal ou qui développe de fausses vues, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 76) — Si un bhikkhu accuse sans fondement – n’ayant rien vu, rien entendu – de (faute semblable à un) saṃghādisesa une personne autre qu’un bhikkhu, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 77) — Si un bhikkhu parle à quelqu’un d’autre qu’un bhikkhu – ne serait-ce qu’un instant –, dans le seul but de provoquer en lui le doute ou l’embarras, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 78) — Si un bhikkhu se déplace vers des bhikkhu qui se disputent, pour aucune autre raison que de les écouter, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 78) — Si un bhikkhu accélère pour écouter les disputes de bhikkhu qui marchent devant lui, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 78) — Si un bhikkhu ralentit ou stoppe pour écouter les disputes de bhikkhu qui marchent derrière lui, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 78) — Si un bhikkhu demeure à proximité de personnes autres que des bhikkhu qui se disputent, pour aucune autre raison que de les écouter, il commet un pācittiya.2, (155)

dukkaṭa (pa 79) — Si, après avoir donné son chanda pour une affaire en accord avec le dhamma – mais qu’il doute de sa légalité –, un bhikkhu fait acte de protestation, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 79) — Si, après avoir donné son chanda pour une affaire illégale – mais qu’il croit légale ou qu’il doute –, un bhikkhu fait acte de protestation, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 80) — Si, dans le but de quitter une séance durant laquelle le saṃgha est train de prendre une décision – légalement – alors que cette dernière n’est pas encore prise ou que la kammavācā n’est pas achevée, un bhikkhu se lève de sa place sans donner son chanda, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 80) — Si, dans le but de quitter une séance durant laquelle le saṃgha est train de prendre une décision – légalement – alors que cette dernière n’est pas encore prise ou que la kammavācā n’est pas achevée, un bhikkhu est en train de partir sans donner son chanda, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 80) — Si un bhikkhu quitte une séance durant laquelle le saṃgha est train de prendre une décision – légalement, mais en doute – alors que cette dernière n’est pas encore prise ou que la kammavācā n’est pas achevée, sans donner son chanda, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 80) — Si un bhikkhu quitte une séance durant laquelle le saṃgha est train de prendre une décision – illégalement, mais croit que le saṃgha agit légalement ou doute – alors que cette dernière n’est pas encore prise ou que la kammavācā n’est pas achevée, sans donner son chanda, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 81) — Un bhikkhu remet autre chose qu’une robe – offerte au saṃgha – à un bhikkhu, en accord avec le saṃgha – bénéficiant de la sammuti. Après, si un bhikkhu l’accuse de donner les affaires offertes au saṃgha à ceux avec qui il a des affinités, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 81) — Un bhikkhu remet une robe ou autre chose – offerte au saṃgha – à un bhikkhu, en accord avec le saṃgha – ne bénéficiant pas de la sammuti. Après, si un bhikkhu l’accuse de donner les affaires offertes au saṃgha à ceux avec qui il a des affinités, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 81) — Une personne autre qu’un bhikkhu remet une robe – offerte au saṃgha – à un bhikkhu, en accord avec le saṃgha. Après, si un bhikkhu l’accuse de donner les affaires offertes au saṃgha à ceux avec qui il a des affinités, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 81) — Si un bhikkhu accuse de donner les affaires offertes au saṃgha à ceux avec qui il a des affinités, un bhikkhu qui remet illégalement une robe – offerte au saṃgha – à un bhikkhu, mais qu’il croit qu’il agit légalement ou doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 82) — Si un bhikkhu destine ou fait destiner à une personne une affaire destinée – offerte ou abandonnée – au saṃgha, qu’il doute qu’il s’agit d’une affaire destinée au saṃgha, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 82) — Si un bhikkhu destine ou fait destiner à un autre saṃgha ou à un cetiya une affaire destinée – offerte ou abandonnée – au saṃgha, qu’il sait qu’il s’agit d’une affaire destinée au saṃgha, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 82) — Si un bhikkhu destine ou fait destiner au saṃgha ou à un autre cetiya une affaire destinée – offerte ou abandonnée – à un cetiya, qu’il sait qu’il s’agit d’une affaire destinée à un cetiya, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 82) — Si un bhikkhu destine ou fait destiner à une autre personne, à un cetiya ou au saṃgha une affaire destinée – offerte ou abandonnée – à une personne, qu’il sait qu’il s’agit d’une affaire destinée à une personne, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 82) — Si un bhikkhu destine ou fait destiner à une personne une affaire non encore destinée – offerte ou abandonnée – au saṃgha, qu’il croit qu’il s’agit d’une affaire déjà destinée au saṃgha ou doute, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 83) — Si sans avoir prévenu à l’avance de son arrivée, un bhikkhu franchit d’un pas le seuil de la porte – ou du rideau – de la chambre d’un roi de sang royal – ayant accédé au trône en prêtant serment de gouverner le royaume de façon juste et honorable, selon la cérémonie de vigueur –, de laquelle le roi ou la reine n’est pas sorti, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 83) — Si, ayant prévenu à l’avance de son arrivée, mais croit que non ou doute, un bhikkhu franchit de deux pas le seuil de la porte – ou du rideau – de la chambre d’un roi de sang royal – ayant accédé au trône en prêtant serment de gouverner le royaume de façon juste et honorable, selon la cérémonie de vigueur –, de laquelle le roi ou la reine n’est pas sorti, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 85) — Si un bhikkhu se rend dans un village108 avant midi(125) – et après l’aube(31) – mais croit après midi après midi(125) – et avant l’aube(31) – ou doute, sans prévenir un bhikkhu qu’il convient de prévenir – si toutefois il y en a un – et sans qu’il s’agisse d’une affaire urgente, dès qu’il franchit le rempart du village ou qu’il parvient aux alentours du village si ce dernier n’a pas de rempart, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 86) — Si un bhikkhu se fabrique ou se fait fabriquer une boîte à aiguilles en os, en ivoire ou en corne, à chaque effort fait dans ce sens, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 86) — Si un bhikkhu fabrique ou fait fabriquer pour une autre personne, une boîte à aiguilles en os, en ivoire ou en corne et qu’il l’obtient, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 86) — Si un bhikkhu utilise la boîte à aiguilles en os, en ivoire ou en corne d’un autre bhikkhu, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 87) — Si un bhikkhu se fabrique ou se fait fabriquer un lit ou une banquette dont les pieds ont une longueur qui excède 8 phalanges de Bouddha, à chaque effort fait dans ce sens, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 87) — Si un bhikkhu fabrique ou fait fabriquer pour une autre personne, un lit ou une banquette dont les pieds ont une longueur qui excède 8 phalanges de Bouddha, et qu’il l’obtient, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 87) — Si un bhikkhu utilise le lit ou la banquette – dont les pieds ont une longueur qui excède 8 phalanges de Bouddha – d’un autre bhikkhu, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 88) — Si un bhikkhu rembourre ou se fait rembourrer un lit ou une banquette à l’aide de kapok, à chaque effort fait dans ce sens, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 88) — Si un bhikkhu rembourre ou fait rembourrer un lit ou une banquette à l’aide de kapok pour une autre personne, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 88) — Si un bhikkhu utilise le lit ou la banquette rembourrée à l’aide de kapok, d’un autre bhikkhu, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 89) — Si un bhikkhu se confectionne ou se fait confectionner un nissīdana dont la longueur dépasse 2 empans de Bouddha, la largeur 1 empan et demi de Bouddha, ou la frange 1 empan de Bouddha, à chaque effort fait dans ce sens, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 89) — Si un bhikkhu confectionne ou fait confectionner un nissīdana dont la longueur dépasse 2 empans de Bouddha, la largeur 1 empan et demi de Bouddha, ou la frange 1 empan de Bouddha pour une autre personne, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 89) — Si un bhikkhu utilise le nissīdana dont la longueur dépasse 2 empans de Bouddha, la largeur 1 empan et demi de Bouddha, ou la frange 1 empan de Bouddha, d’un autre bhikkhu, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 90) — Si un bhikkhu se confectionne ou se fait confectionner une robe de protection de plaie dont la longueur dépasse 4 empans de Bouddha, ou la largeur 2 empans de Bouddha, à chaque effort fait dans ce sens, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 90) — Si un bhikkhu confectionne ou fait confectionner une robe de protection de plaie dont la longueur dépasse 4 empans de Bouddha, ou la largeur 2 empans de Bouddha pour une autre personne, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 90) — Si un bhikkhu utilise la robe de protection de plaie dont la longueur dépasse 4 empans de Bouddha, ou la largeur 2 empans de Bouddha, d’un autre bhikkhu, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 91) — Si un bhikkhu se confectionne ou se fait confectionner une robe de pluie dont la longueur dépasse 6 empans de Bouddha ou la largeur 2 empans et demi de Bouddha, à chaque effort fait dans ce sens, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 91) — Si un bhikkhu confectionne ou fait confectionner une robe de pluie dont la longueur dépasse 6 empans de Bouddha ou la largeur 2 empans et demi de Bouddha pour une autre personne, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 91) — Si un bhikkhu utilise la robe de pluie dont la longueur dépasse 6 empans de Bouddha ou la largeur 2 empans et demi de Bouddha, d’un autre bhikkhu, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 92) — Si un bhikkhu se confectionne ou se fait confectionner une robe dont la longueur dépasse 9 empans de Bouddha ou la largeur 6 empans de Bouddha, à chaque effort fait dans ce sens, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 92) — Si un bhikkhu confectionne ou fait confectionner une robe dont la longueur dépasse 9 empans de Bouddha ou la largeur 6 empans de Bouddha pour une autre personne, il commet un dukkaṭa.

dukkaṭa (pa 92) — Si un bhikkhu utilise la robe dont la longueur dépasse 9 empans de Bouddha ou la largeur 6 empans de Bouddha, d’un autre bhikkhu, il commet un dukkaṭa.

Voir la suite des dukkaṭa

infos sur cette page

Origine : Textes en birman

Auteur/traducteur : Moine Dhamma Sāmi

Date : 2003

Mise à jour : 19 juin 2005