Cliquez ici pour afficher normalement la page (avec mise en forme et graphisme). Si ça ne fonctionne pas, vérifiez que votre navigateur accepte JavaScript et supporte les CSS. Nous vous recommandons un navigateur respectant les standards, tel que : Google Chrome, Firefox, Safari…
Le Vénérable Phagguna-au-chignon tenait ce sobriquet du grand chignon qu’il avait arboré durant sa vie laïque.
Ainsi ai-je entendu.
En ce temps-là le Bienheureux séjournait, près de Sāvatthi, dans le parc Anāthapiṇḍika du bois Jéta.
À la même époque le Vénérable Moliyaphagguna sympathisait avec les moniales en dépassant les bornes : si un moine critiquait les moniales en sa présence, il se mettait en colère et manifestait son mécontentement en accusant le moine(*) ; et si un moine critiquait le Vénérable Phagguna en présence des moniales, celles-ci se mettaient en colère et manifestaient leur mécontentement en accusant le moine. Voilà comment le Vénérable Phagguna-au-chignon sympathisait avec les moniales.
En disant par exemple : « Depuis qu’il a aperçu les moniales, ce moine a les yeux qui brillent, il va offrir des fleurs dans leur monastère ou y accomplir d’autres tâches, et ces filles de bonne famille en sont toutes honteuses. » Ou bien en accusant le moine de transgresser les règles du vinaya par les critiques qu’il émettait.
Un moine alla trouver le Bienheureux. Il salua le Bienheureux en arrivant et s’assit convenablement. Une fois bien assis, ce moine dit au Bienheureux :
— Maître, le Vénérable Phagguna-au-chignon sympathise avec les moniales en dépassant les bornes : si un moine critique ces moniales en sa présence, il se met en colère et manifeste son mécontentement en accusant le moine. Et si un moine critique le Vénérable Phagguna en présence des moniales, celles-ci se mettent en colère et manifestent leur mécontentement en accusant le moine. Voilà comment le Vénérable Phagguna sympathise avec les moniales(*).
Ce moine pensa que Phagguna ne changerait pas de comportement s’il était sermonné par d’autres moines et qu’il fallait que le Bienheureux intervienne en personne.
Le Bienheureux appela un autre moine :
— Va, moine, convoquer de ma part le moine Phagguna-au-chignon en lui disant : « Le Bienheureux te convoque, ami Phagguna. »
— Bien, Maître.
Le moine obéit au Bienheureux, alla trouver le Vénérable Phagguna et lui dit :
— Le Bienheureux te convoque, ami Phagguna.
— Bien, mon ami.
Le Vénérable Phagguna obéit au moine, il se rendit auprès du Bienheureux qu’il salua en arrivant et il s’assit convenablement. Quand il fut bien assis, le Bienheureux lui demanda :
— Est-il vrai comme on le raconte que toi, Phagguna, tu sympathises avec les moniales en dépassant les bornes ? On dit de toi, Phagguna, que tu sympathises avec les moniales ainsi : si un moine critique ces moniales en ta présence, tu te mets en colère et tu manifestes ton mécontentement en accusant le moine ; et si un moine te critique en présence des moniales, celles-ci se mettent en colère et manifestent leur mécontentement en accusant le moine. Est-ce bien ainsi, Phagguna, que tu sympathises avec les moniales ?
— Oui, Maître.
— Est-ce avec confiance, Phagguna, que toi, un fils de bonne famille, tu es passé du foyer au sans-foyer ?
— Oui, Maître.
— Alors, il ne convient pas que tu sympathises avec les moniales en dépassant les bornes. Par conséquent, Phagguna, si quelqu’un critique ces moniales en ta présence, tu dois abandonner les élans profanes(*), les pensées profanes, et t’exercer ainsi : « Je ne laisserai pas mon état d’être s’altérer, je ne proférerai aucune mauvaise parole, je resterai amical, bienveillant, sans aversion aucune. » Voilà comment tu dois t’exercer.
Élans profanes : les élans suscités par un désir ou par une aversion, ceux qui se produisent chez les gens qui vivent dans leur foyer, et qu’on ne devrait pas trouver chez des renonçants.
De plus, Phagguna, si quelqu’un bat ces moniales en ta présence, s’il les frappe à coups de pierre, de bâton ou d’épée, tu dois là aussi abandonner les élans profanes, les pensées profanes, et t’exercer ainsi : « Je ne laisserai pas mon état d’être se détériorer, je ne proférerai pas de mauvaises paroles, je resterai amical, bienveillant et sans aversion aucune. » Voilà comment tu dois t’exercer.
De plus, Phagguna, si c’est toi que l’on critique face à face… toi que l’on bat, toi que l’on frappe à coups de pierres, de bâton ou d’épée, tu dois encore abandonner les élans profanes, les pensées profanes, et t’exercer ainsi : « Je ne laisserai pas mon état d’être s’altérer, je ne proférerai aucune mauvaise parole, je resterai amical, bienveillant, sans aversion aucune. » Voilà comment tu dois t’exercer(*).
Malgré cette injonction, Phagguna n’eut pas l’intention de s’amender. Le Bouddha pensa alors aux moines dociles qu’il avait guidés dans les premiers temps suivant sa Réalisation et il voulut faire l’éloge de l’obéissance.
Puis le Bienheureux s’adressa aux moines :
— Il y eut cette fois, moines, où mes moines me comblèrent d’aise. Je m’étais adressé à eux pour leur dire : « Je mange en une seule session(*), moines, et en procédant ainsi, je ne connais pas la maladie, je reste frais et dispos, léger et vigoureux. Vous aussi, moines, mangez en une seule session. En procédant ainsi, vous ne connaîtrez pas non plus la maladie et vous resterez frais et dispos, légers et vigoureux. » Je n’eus pas besoin de répéter cette consigne, il m’avait suffi d’attirer leur attention.
Le temps qui va de l’aube jusqu’au milieu de la journée compte pour une seule session, quel que soit le nombre de fois où l’on mange. Dans le Bhaddāli sutta (n°65) il est question d’abandonner le repas du soir, ici de renoncer en plus à manger l’après-midi.
Supposez, moines, qu’il y ait sur le sol uni d’un grand carrefour un char attelé d’un pur-sang et contenant un aiguillon. Si un habile cocher, passé maître dans le dressage des chevaux, y monte, prend les rênes de la main gauche et l’aiguillon de la main droite, il peut faire avancer et reculer le char comme il veut, là où il veut. De même, moines, je n’eus pas besoin de répéter cette consigne aux moines, il avait suffi d’attirer leur attention.
Comme eux, moines, abandonnez le pernicieux et consacrez-vous au bénéfique, c’est ainsi que vous croîtrez dans ce Dhamma-vinaya, que vous y prospérerez et vous y épanouirez.
Supposez maintenant, moines, qu’il y ait près d’un hameau ou d’un village un grand bois d’arbres-sals envahi de ricin(*). S’il vient un homme qui veut faire prospérer ce bois, l’assainir et le préserver, il coupe les pousses de sals tordues et chétives, il les porte à l’extérieur, nettoie minutieusement tout l’intérieur du bois et soigne les pousses droites et vigoureuses de façon à faire prospérer le bois, à l’assainir, à le préserver. De même, moines, extirpez le pernicieux et développez le bénéfique, c’est ainsi que vous croîtrez dans ce Dhamma-vinaya, que vous y prospérerez et vous y épanouirez.
Le ricin est nuisible aux arbres-sals.
Il y eut autrefois, moines, dans cette ville de Sāvatthi une noble dame du nom de Sage. Dame Sage jouissait d’une flatteuse réputation : « Dame Sage est gentille, Dame Sage est douce, Dame Sage est paisible. » Or Dame Sage avait une servante, appelée Noire, qui était adroite, industrieuse et soigneuse. Et cette servante eut l’idée suivante : « Ma maîtresse jouit de la flatteuse réputation d’être gentille, douce et calme. Mais ne cacherait-elle pas quelque irritabilité qui ne se manifeste pas tant que je suis soigneuse dans mon travail ? Je vais la mettre à l’épreuve. »
Un matin, moines, la servante Noire se leva tard. Dame Sage l’interpella :
— Dis-moi, Noire !
— Quoi donc, madame ?
— Pourquoi t’es-tu levée tard ?
— Pour rien, madame.
— Pour rien ? Mécontente et irritée, Dame Sage fronça les sourcils.
Noire pensa alors : « Il semble bien exister chez ma maîtresse une irritabilité cachée qui ne se manifeste pas tant que je suis soigneuse dans mon travail. Je vais la mettre un peu plus à l’épreuve. »
La servante Noire se leva plus tard et Dame Sage l’interpella :
— Dis-moi, Noire !
— Quoi donc, madame ?
— Pourquoi t’es-tu levée plus tard ?
— Pour rien, madame.
— Pour rien ? Méchante servante qui s’est levée tard ! Mécontente et irritée, Dame Sage laissa sortir une parole de mécontentement.
De nouveau, moines, Noire pensa : « Il est maintenant avéré qu’il existe chez ma maîtresse une irritabilité cachée qui ne se montre pas tant que je suis soigneuse dans mon travail. Je vais renforcer encore l’épreuve. » La servante Noire se leva donc encore plus tard, et Dame Sage l’interpella de nouveau :
— Dis-moi, Noire !
— Quoi donc, madame ?
— Pourquoi t’es-tu levée encore plus tard ?
— Pour rien, madame.
— Pour rien ? Méchante servante qui s’est levée encore plus tard ! Mécontente et irritée, Dame Sage prit la chevillette(*) et lui en asséna sur la tête un coup si fort qu’il lui fendit le crâne. Alors, moines, la servante Noire montra au voisinage son crâne fendu et ensanglanté :
— Voyez, mesdames, l’œuvre de la gentille, voyez l’œuvre de la douce, voyez l’œuvre de la paisible. Voyez comment, mécontente et irritée, elle a demandé à son unique servante pourquoi celle-ci s’était levée si tard et comment elle a pris la chevillette pour lui en asséner sur la tête un coup qui lui a fendu le crâne.
La petite cheville qui sert à bloquer la barre de la porte.
Depuis ce temps, moines, Dame Sage souffrit d’une mauvaise réputation : « Dame Sage est violente, Dame Sage est brutale, Dame Sage est coléreuse. »
De même, moines, il y a des moines qui sont tout gentils, tout doux et tout paisibles tant qu’ils n’entendent pas de paroles déplaisantes. Mais c’est lorsque des paroles déplaisantes les atteignent que l’on peut savoir s’ils sont vraiment gentils, doux et paisibles. Je ne qualifie pas de docile le moine qui obéit et parle suavement à seule fin de recevoir les robes, la nourriture, le logement et les médicaments. Pourquoi ? Parce qu’il n’est plus docile et ne parle plus suavement s’il ne reçoit pas les robes, la nourriture, le logement ou le médicament attendus. En revanche, le moine qui obéit et qui parle suavement pour vénérer le Dhamma, pour l’honorer et le respecter, celui-là je l’appelle obéissant. Par conséquent, moines, vous devez vous exercer ainsi : « Nous obéirons et nous parlerons suavement pour vénérer le Dhamma, l’honorer et le respecter. »
Quand ils vous parlent, moines, les autres peuvent le faire de cinq façons : à temps ou à contretemps, en accord avec les faits ou en désaccord avec les faits, gentiment ou durement, de façon sensée ou de façon insensée, avec amitié ou avec aversion.
Que les autres vous parlent à temps ou à contretemps, qu’ils vous parlent en accord avec les faits ou non, qu’ils vous parlent avec gentillesse ou avec dureté, qu’ils vous parlent de façon sensée ou de façon insensée, qu’ils vous parlent avec amitié ou avec aversion, vous, moines, vous devez vous exercer ainsi : « Nous ne laisserons pas notre état d’être s’altérer, nous ne proférerons aucune mauvaise parole, nous resterons amicaux, bienveillants et sans aversion aucune. Nous diffuserons un état d’esprit plein de bienveillance (mettā) sur cette personne, et en prenant le monde entier pour objet, nous y diffuserons un état d’esprit plein de bienveillance, ample, magnifié, incommensurable, amical et plaisant(*). » Voilà, moines, comment vous devez vous exercer.
Cette formule est commentée mot à mot en Visud IX 44.
Un homme peut bien apporter une pelle et un panier en déclarant : « Je vais réduire la terre à néant. » Il peut bien creuser çà et là, disperser la terre çà et là, la jeter çà et là, la lancer çà et là en disant : « Tu n’es plus terre, tu n’es plus terre », mais qu’en pensez-vous, moines ? Cet homme peut-il réduire cette grande terre à néant ?
— Certainement pas, Maître.
— Pourquoi ?
— Parce que cette grande terre est profonde, Maître, elle est immense, il n’est pas facile de la réduire à néant, et cet homme ne récoltera que fatigue et contrariétés.
— De même(*), moines, quand ils vous parlent, les autres peuvent le faire de cinq façons… mais de quelque façon qu’ils le fassent… vous devez vous exercer ainsi : « Nous ne laisserons pas notre état d’être s’altérer, nous ne proférerons aucune mauvaise parole, nous resterons amicaux, bienveillants et sans aversion aucune. Nous diffuserons un état d’esprit plein de bienveillance sur cette personne, et en prenant le monde entier pour objet, nous y diffuserons un état d’esprit plein de bienveillance, ample, magnifié, incommensurable, amical et plaisant. » Voilà, moines, comment vous devez vous exercer.
Que votre bienveillance soit comme la terre, indestructible. Qu’elle soit comme le ciel que rien ne peut salir, comme le Gange que rien ne peut faire bouillir, et comme la poche en peau, silencieuse.
Un homme, moines, peut bien apporter de la laque, de la curcumine (safran des Indes), du noir ou de l’écarlate et déclarer : « Je vais peindre une image sur le ciel, je vais la rendre visible », mais qu’en pensez-vous, moines ? Cet homme peut-il peindre une image sur le ciel, la rendre visible ?
— Certainement pas, Maître.
— Pourquoi ?
— Parce que le ciel n’est pas matériel, Maître, il est invisible, on ne peut pas y peindre une image ni la rendre visible, et cet homme ne récoltera que fatigue et contrariétés.
— De même, moines, quand ils vous parlent, les autres peuvent le faire de cinq façons… mais de quelques façons qu’ils le fassent… vous devez vous exercer ainsi : « Nous ne laisserons pas notre état d’être s’altérer, nous ne proférerons aucune mauvaise parole, nous resterons amicaux, bienveillants et sans aversion aucune. Nous diffuserons un état d’esprit plein de bienveillance sur cette personne, et en prenant le monde entier pour objet, nous y diffuserons un état d’esprit plein de bienveillance, ample, magnifié, incommensurable, amical et plaisant. » Voilà, moines, comment vous devez vous exercer.
Un homme peut bien apporter une torche embrasée et déclarer : « Je vais chauffer le Gange avec cette torche jusqu’à le faire bouillir », mais qu’en pensez-vous, moines ? Cet homme peut-il chauffer le Gange avec sa torche embrasée et le faire bouillir ?
— Certainement pas, Maître.
— Pourquoi ?
— Parce que le Gange est profond, Maître, il est immense, on ne peut pas le chauffer avec une torche embrasée jusqu’à le faire bouillir, et cet homme ne récoltera que fatigue et contrariétés.
— De même, moines, quand ils vous parlent, les autres peuvent le faire de cinq façons… mais de quelque façon qu’ils le fassent… vous devez vous exercer ainsi : « Nous ne laisserons pas notre état d’être s’altérer, nous ne proférerons aucune mauvaise parole, nous resterons amicaux, bienveillants et sans aversion aucune. Nous diffuserons un état d’esprit plein de bienveillance sur cette personne, et en prenant le monde entier pour objet, nous y diffuserons un état d’esprit plein de bienveillance, ample, magnifié, incommensurable, amical et plaisant. » Voilà, moines, comment vous devez vous exercer.
On peut trouver, moines, une poche en peau de chat assouplie, bien assouplie, parfaitement assouplie, flexible, soyeuse, qui ne crisse pas, qui ne craque pas, et un homme peut apporter un archet ou une baguette en déclarant : « De cette poche en peau de chat assouplie, bien assouplie, entièrement assouplie, flexible, soyeuse, qui ne crisse pas, qui ne craque pas, je vais tirer des sara-sara, je vais tirer des bhara-bhara au moyen de mon archet ou de ma baguette. » Qu’en pensez-vous, moines ? Cet homme peut-il, au moyen de son archet ou de sa baguette, tirer des sara-sara ou des bhara-bhara de cette poche en peau de chat assouplie, bien assouplie, parfaitement assouplie, flexible, soyeuse, qui ne crisse pas et qui ne craque pas ?
— Certainement pas, Maître.
— Pourquoi ?
— Parce que, Maître, cette poche en peau de chat est assouplie, bien assouplie, parfaitement assouplie, flexible, soyeuse, elle ne crisse pas et ne craque pas. Il n’est pas facile d’en tirer des sara-sara ou des bhara-bhara au moyen d’un archet ou d’une baguette, et cet homme ne récoltera que fatigue et contrariétés.
— De même, moines, quand ils vous parlent, les autres peuvent le faire de cinq façons… mais de quelque façon qu’ils le fassent… vous devez vous exercer ainsi : « Nous ne laisserons pas notre état d’être s’altérer, nous ne proférerons aucune mauvaise parole, nous resterons amicaux, bienveillants et sans aversion aucune. Nous diffuserons un état d’esprit plein de bienveillance sur cette personne, et en prenant le monde entier pour objet, nous y diffuserons un état d’esprit plein de bienveillance, ample, magnifié, incommensurable, amical et plaisant. » Voilà, moines, comment vous devez vous exercer.
Et même si de cruels brigands lui tranchaient membre après membre avec une scie à deux poignées, celui qui laisserait l’aversion l’envahir ne mettrait pas mon enseignement en pratique. Là aussi, moines, vous devriez vous exercer ainsi : « Nous ne laisserons pas notre état d’être s’altérer, nous ne proférerons aucune mauvaise parole, nous resterons amicaux, bienveillants et sans aversion aucune. Nous diffuserons un état d’esprit plein de bienveillance sur cette personne, et en prenant le monde entier pour objet, nous y diffuserons un état d’esprit plein de bienveillance, ample, magnifié, incommensurable, amical et plaisant. » Voilà, moines, comment vous devriez vous exercer.
Si vous gardez constamment à l’esprit cette image de la scie, moines, voyez-vous une façon de parler, grossière ou subtile, que vous ne puissiez supporter ?
— Certes non, Maître.
— Par conséquent, moines, gardez constamment à l’esprit cette image de la scie, ce vous sera bénéfice et bonheur pour longtemps.
Ainsi parla le Bienheureux.
Les moines furent satisfaits des paroles du Bienheureux et ils s’en réjouirent.
Origine : Enseignements et discussions entre Bouddha, ses disciples, ses antagonistes… (Nord de l’Inde actuelle)
Date : Ve siècle avant notre ère
Traducteur : Christian Maës
Mise à jour : 25 févr. 2011